quelques minutes en plus....: septembre 2012

27 sept. 2012

Journal intime VS Blog

Je ne sais pas si l'une d'entre vous a déjà tenu un journal intime dans son enfance ou adolescence, je dois avouer que j'ai bien tenté mais je n'ai pas adhéré du tout ou plutôt je ne savais pas comment décrire certains de mes sentiments avec des mots. J'avais un peu honte je crois. Je ne savais pas me libérer par les mots. J'étais une ado très renfermée et très solitaire (tout le contraire de ce que je suis maintenant)

Et je me trouvais un peu ridicule d'écrire mes malheurs sur un carnet en commençant par Cher Journal ou Mon Cher Journal :

LA VIE EST NULLE MES PARENTS SONT NULS JE SUIS NULLE

JE VEUX MOURIIIIIIIIR

KEVIN IL EST TROP TROP TROP TROP BEAU MAIS IL PREFERE CETTE GROSSE POUF D'ANGELA

JE LA HAIS

JE CROIS QUE JE VAIS MOURIR

TELLEMENT JE L'AIME

CA Y EST JE SUIS UNE FEMME

AUJOURD'HUI J'AI EU MES REGLES

Sachant que je but du journal est de n'être lu par personne et que par conséquent personne ne serait là pour me réconforter, j'ai vite déchanté. Je me contentais donc d'écrire quelques phrases sur mon agenda ou de dessiner des gribouillis.

Par contre j'admirais mes amies qui réussissaient à faire de leurs vieux cahiers un album remplie de photo, de dessins et de poèmes et de réussir à transcrire si bien leurs émotions qu'on pouvait presque croire qu'elles donnaient vie à leur journal.

C'est qu'à mon époque internet n'existait pas donc pas de trop de choix si tu voulais écrire tous tes secrets.

Non moi ce que j'aime dans les écrits c'est qu'ils sont lus, j'ai l'impression d'une thérapie de groupe, tu vois ??? (Non !! ce n’est pas grave)

C'est donc pour cette raison que j'ai tenté l'aventure du blog.

Et depuis je dois dire que cela me plaît énormément, surtout pour le partage, le soutien, les rires, les sourires, les AHAHAHA et les OHOHOHO, les défis.

J’écris, je publie et j'attends vos impressions, je trouve cela plus boostant, plus excitant qu'un journal.

J'y ai rencontré beaucoup de personnes formidables (dont toi qui me lis), je fais des découvertes et j'apprends.

C'est un échange qui me plaît et qui me dynamise dans la vie "réelle". Depuis que je tiens mon blog, je fais plus attention à mes tenues (des fois que je te rencontrais par hasard), je fais plus attention à mon vocabulaire (sauf en voiture quand je croise des grognasses qui te coupe la priorité), j'essaie de ne pas faire trop de fautes d'orthographe, j'aime te mettre un petit commentaire pour t'encourager ou te donner le sourire et j’aime en recevoir. Que du bonheur.

C'est plus enrichissant que d'écrire seule sur un journal que tu dois cacher sous ton armoire ou ton matelas non ???

Ce qui est sûre c'est que si mes enfants décident un jour de tenir un journal intime, je ne pourrais que les encourager à continuer car il est important de pouvoir se libérer de certaines choses trop pesantes ou trop difficiles à supporter mais j’espère qu'ils n'écriront que de belles choses et que leur cachette ne sera pas trop dure à trouver. QUOI ????

26 sept. 2012

Jeu d'écriture :Syndrome d'une mère possessive

Le souvenir si proche de mon garçon alors âgé d'à peine 4 ans qui m'avouait alors qu'il avait une amoureuse, me rend plus que nostalgique.

Aujourd'hui devenu un bel adolescent , avec son air d'idole des jeunes, et lorsqu’il me demande de repasser sa chemise pour un rendez-vous avec une jeune fille de son lycée, je comprends alors que le cocon si soyeux que j'ai tissé pour lui avec tant de patience, d’attention et d'amour n'a plus cet effet protecteur et douillet. J’aurai du prévoir et le rembourrer de zinc pour empêcher son évasion sentimentale. Mais la Chrysalide se transforme en papillon, l'arbuste en palétuvier.

Et c'est sans autorisation qu'il s'en va rejoindre celle qui fait battre son cœur. Et moi en mère naïve qui croyait que j'étais la seule et l'unique, repense à ces moments si complices que l'on avait autrefois. N'est-ce pas ce que l'on s'était promis ? N’est-ce pas ce que l'on s'était écrit au crayon de couleur entre les lignes interminables de lettres et de voitures bleues ? Je t'aime maman pour toujours.

Les désirs d'aventures amoureuses inavouées qu'un enfant fait à sa mère, ça laisse comme un goût de cyanure dans la bouche , ça fait mal au cœur, au ventre, au tripes, on a la nausée, le foie déréglé comme les premiers symptômes d'une grossesse, sauf qu'il ne s'agit plus de donner naissance à un bébé mais donner la possibilité à votre enfant de devenir un adulte sans vous.

Le permis d'aimer ne se demande pas, il se vit, me direz-vous et je le pense aussi. Je ne me lancerai donc pas dans un discours dogmatique sur la relation presque charnel qui lie une mère à son enfant, je préfère rester discrète presque invisible lorsque mon fils décide de partir à la poursuite de ses propres expériences. Je l'accompagne au bout du chemin en lui laissant quelques indications sur les rouages de la machine si mystérieuse qu'est la vie. C’est de cette manière qu’elle se prépare elle aussi à entamer un autre chemin, celui d’une mère apaisée de voir son enfant heureux et épanouis.

Voici ma troisième participation au défi proposé par Olivia billington, si vous aussi vous voulez participer rendez vous sur son blog

25 sept. 2012

Si tu rentres pas dans la bonne case : tu dégages

La fameuse case où tout être humain se doit de rentrer, sinon tu dégages. T'es pas reconnu. T'existes pas.

La case, celle qu'on doit cocher pour remplir n'importe quel formulaire qu'il soit administratif (surtout) , virtuel ou ludique

En général on arrive à trouver une case à remplir même si cela ne reflète pas totalement ton opinion, on se creuse un peu la tête et finalement on se plie bon gré mal gré à une idée qui n'est pas la notre.

Mais on a l'habitude, on rechigne plus, on coche.

Là où cela devient de la vrai prise de tête, surtout pour notre chère administration française et les professionnels de la santé c'est de mettre la croix au bon endroit pour caser ton enfant en attente de prise en charge. Mais cette case n'existe pas et pas question de la créer, cela remettrai bien trop de chose en cause et des heures supplémentaires en veut tu en voilà, et des assemblées à tir larigot. Cette case t'as n'as besoin, il te la faut sinon tu l'as dans l'os, pour ne pas dire ailleurs.

Oui ce que tu ne sais pas c'est que mon fils souffre d'un syndrome inconnu, en fait tous les professionnels veulent bien s'en charger (ça rapporte trop pour laisser passer çà) mais peuvent pas mettre une croix dans la case de demande de prise en charge parce que ça n'existe pas, limite on te fait croire que c'est toi qui l'a inventé .Ton fils c'est le plus beau, le plus fort, le plus grand, le plus intelligent alors forcement il ne peut souffrir que d'un mal que tu as inventé, parce que ton fils est trop exceptionnel pour être comme les autres pourquoi souffrirait il du plus commun des syndromes hein ???

Donc entre l'orthophoniste qui cherche à faire rentrer mon fils dans la case et le psychomotricien non reconnu pas l'assurance maladie, et bien va falloir mettre la main au chéquier.

Ah oui mon fils souffre de Troubles Envahissant du Développement (entre autre)et rejoints ainsi de nombreux autres enfants de part le monde qui souffre de ce mal inventé par des mamans trop protectrices, prétentieuses, possessives. Les 3 P , c'est pas mal comme case à cocher.

Y a des jours où je mettrai bien quelques paires de claques.

Billet pour optimiste (sauf le début)

Juste au moment où tu y croyais.

L'envie, l’énergie, la confiance en soi.

Tu te trouves forte, invincible. De ta vie tu n'as jamais étais aussi radieuse et optimiste.

Des années de travail sur soi, des années à donner aux autres, sans rancoeur, juste le bonheur de rendre les autres heureux.

Maintenant tu crois que c'est à tour, qu'enfin les gens vont se rendre compte que tu es quelqu'un, qu'on peut te faire confiance.

Que Tu existes enfin ....

Et en une seconde, un geste ou juste une phrase lancée comme une grosse pierre dans ta face

Et tout s'écroule

Et puis rien, tu te retrouves en train de fondre sur place, des jambes flageolent, tes mains sont moites, ton coeur hésite entre battre à 200 ou à s'arrêter. T'as envie de t'évanouir et de te réveillais sans jamais avoir vécu ses quelques minutes.

Mais t'es là, encore debout, droite comme un i,

non cette fois ci tu tiendras.

Tes rêves aussi ont le droit d'être vécus.

Ne laisses jamais personne te dirent que tu ne vaux rien,réponds plutôt que tu vaux mille fois mieux qu'elle.

24 sept. 2012

Gérard c'est d'la Bombe

J'avoue je craque souvent lorsque je vois mon Gégé.

Il est beau, fort,viril,ténébreux

Pourtant je me suis promis de ne plus baver comme une moule, un escargot, une chienne en chaleur (rayer la mention inutile)

Mais je peux pas, c'est plus fort que moi, et ça dure depuis quand cette histoire ?

Depuis mes 12 - 13 ans je suis accroc à Gégé, j'avais des posters de lui dans la chambre que je partageais avec ma soeur, on se disputait le Nanard et le Gégé.

Oui parce que le Bernard aussi il en jetait avec ses yeux bleus outremer.

Bref tu l'auras compris mon idole à moi (celle qui pense à Jojo, tu sors de suite) (s'te plait)

c'est lui

Normalement ça devait être moi sur cette photo mais j'ai du décommander à la dernière minute, c'est con la vie parfois hein !!! (en plus sérieux elle a même de poitrine)

A livres ouvert : Stephen King (un concours à la fin du billet)

Qui n'a pas lu au moins un roman, du plus célèbre des auteurs de romans d'horreur.

Je n'ai pas lu par hasard ses romans, c'était pour moi une thérapie pour soigner ma peur. Combattre le mal par le mal, ça à plutôt bien fonctionné puisque je pouvais regarder des films d'épouvante sans me cacher sous la table. Bon même si parfois j'avais du mal à trouver le sommeil....

J'ai commencé à me plonger dans ce monde parallèle vers l'âge de 15 ans.

Qui est stephen King ?

Stephen Edwin King, plus connu sous le nom de Stephen King, est un écrivain américain né le 21 septembre 1947 à Portland, dans leMaine (États-Unis).

Tout au long de sa carrière, Stephen King a écrit et publié plus de cinquante romans d'horreur ou fantastiques qui ont été vendus à plus de trois cent cinquante millions d'exemplaires de par le monde), plus de cent soixante nouvelles et plus de quatre cents essais de non-fiction. Il reçoit en 2003 la médaille de la National Book Foundation pour sa remarquable contribution à la littérature américaine et, en 2007, l'association des auteurs de romans policiers américains Mystery Writers of America lui décerne le titre de « grand master ».

King possède une grande connaissance de la littérature d'horreur, comme on peut le voir dans son essai Anatomie de l'horreur qui retrace plusieurs décennies d'un intérêt prononcé pour l'épouvante à travers la littérature, le cinéma, la télévision et la radio. Il a aussi écrit des ouvrages appartenant à d'autres genres comme les recueils de nouvelles Différentes Saisons, ou Cœurs perdus en Atlantide, et les romansLa Ligne verte, Les Yeux du dragon, et son magnum opus, la série La Tour sombre. Dans le passé, Stephen King a écrit sous les noms de Richard Bachman et John Swithen (une seule fois sous ce dernier pseudonyme pour la nouvelle le Cinquième Quart publiée par la suite dansRêves et Cauchemars). source Wikipédia.

Son Enfance

Stephen King a deux ans lorsque son père, Donald Edwin King, abandonne le domicile conjugal. Sa mère, Nellie Ruth Pillsbury, élève seule Stephen et son grand frère adopté David, dans des conditions financières souvent très difficiles. La famille s'installe à Durham (Maine), ville d'origine de Ruth, mais passe aussi de courtes périodes à Fort Wayne (Indiana) et Stratford (Connecticut).

Enfant, Stephen King a été témoin d'un accident traumatisant - un de ses amis a été heurté par un train sur une voie ferrée. L'hypothèse a été émise que cet accident ait pu inspirer ses créations sombres et dérangeantes⁴, bien que King lui-même ait réfuté cette idée. source Wikipédia.

Vous l'avez lu aussi sous le nom de ...

King a également écrit sous le pseudonyme de Richard Bachman, d'une part car les standards de l'édition de l'époque ne permettaient à un auteur que de publier un seul livre par an, et, d'autre part, car il était curieux de savoir s'il pouvait rééditer son succès sous une autre identité ou si celui-ci n'était dû qu'à la chance⁸. Il a donc publié cinq romans (Rage, Marche ou crève, Chantier,Running Man et la Peau sur les os) sous le nom de Bachman, en réduisant au maximum la promotion marketing de ces romans, avant que la supercherie ne soit découverte et dévoilée au grand jour par Steve Brown, un employé de librairie⁹. Richard Bachman est alors « tué » en 1985, mort supposément d'un « cancer du pseudonyme »¹⁰. Les ventes des ouvrages de Bachman explosent alors.

King reprend l'identité de Richard Bachman pour l'ouvrage Les Régulateurs (1996), paru le même jour que Désolation et reprenant les mêmes noms de personnages et une idée de scénario commune mais dans un cadre totalement différent. Le manuscrit est présenté comme découvert par sa veuve en 1994. Cette expérience avec un « double littéraire » a inspiré à King le roman La Part des ténèbres (1989), dans lequel le pseudonyme d'un écrivain prend vie alors qu'il décide d'en abandonner le nom comme Stephen King l'a fait pour Bachman. En 2006, King « découvre » un autre roman de Bachman qui est publié l'année suivante sous le titre de Blaze. L'écriture de ce manuscrit remonte en fait à 1973 et King l'a profondément remanié avant de le soumettre à la publication.

En 2010, Stephen King interpréta un personnage secondaire inquiétant nommé « Bachman » dans la saison 3 de la série Sons of Anarchy.

Je ne vais faire la liste de tous ses romans, mais en voici quelques un que j'ai lu et particulièrement appréciés

(dans le désordre de mes lectures)

Lassé des aventures à l’eau de rose de Misery Chastain, l’écrivain à succès Paul Sheldon vient d’écrire le dernier volume de la série, dans lequel son héroïne trouve la mort. Suite à un accident, il se retrouve à la merci d’une infirmière, les jambes et le bassin brisés. Fervente admiratrice de son oeuvre, Annie Wilkes a décidé de séquestrer l’écrivain pour l’obliger à ressusciter son personnage. Si les psychotiques en liberté peuvent s’en sortir tant bien que mal, s’ils se tirent même de très sales affaires, il arrive un moment où le contrôle de leur psychose devient de plus en plus difficile. Annie Wilkes semble se rapprocher chaque jour un peu plus de ce moment. Et quelque chose en elle le sait. Paul comprend que s’il veut sortir de là, il lui faut ruser et tuer.

Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans. Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauve-souris.
Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l’approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leurs voisins Vic Trenton et sa femme Donna, aux prises avec l’écroulement de leur couple, Tad, leur petit garçon, depuis des semaines en proie à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d’épouvante, un cauchemar nommé Cujo…

Louis Creed, un jeune médecin de Chicago, vient s'installer avec sa famille à Ludlow, petite bourgade du Maine. Leur voisin, le vieux Jud Crandall, les emmène visiter le pittoresque " simetierre " où des générations d'enfants ont enterré leurs animaux familiers. Mais, au-delà de ce " simetierre ", tout au fond de la forêt, se trouvent les terres sacrées des Indiens, lieu interdit qui séduit pourtant par ses monstrueuses promesses. Un drame atroce va bientôt déchirer l'existence des Creed, et l'on se trouve happé dans un suspense cauchemardesque...

L'histoire commence en août 1994 quand Johanna, la femme de l'écrivain à succès Mike Noonan part à la pharmacie acheter son traitement antiallergique. Jusque-là, Mike menait une vie heureuse, qu'il consacrait à l'écriture et à l'amour de sa femme. Mais Johanna partie à la pharmacie n'en revient pas, elle décède prématurément d'une rupture d'anévrisme. Dès lors, Mike n'arrive plus à écrire. Son blocage suit le décès de sa femme. Il éprouve des sensations physiques effroyables lorsqu'il essaye de taper trois mots. Mais il s'efforce de continuer à vivre, obsédé par le souvenir et l'ombre de sa femme, hanté par d'innommables cauchemars.

Bazaar est au cœur de Castle Rock, cette petite ville américaine où l'auteur a situé nombre de ses thrillers tels Cujo, La Part des ténèbres ou Les Tommyknockers... Une poudrière où s'accumulent et se déchaînent toute la violence et la démence que recèle l'âme de chacun. Jusqu'à l'implosion. King ou l'art de rayer une ville de la carte par la seule force de la haine. De ces haines qui vous font mourir ou tuer.

Mieux vaut ne pas pénétrer dans le monde de Rose Madder sans y être invité...
Quatorze ans de mariage, quatorze ans de mauvais traitements : toute la vie de Rosie. Un enfer ! Doublé d'une obsession : fuir son tortionnaire de mari, flic jaloux, bourreau sadique, prêt à la massacrer à la première occasion.
900 kilomètres suffiront-ils à la préserver de Norman ? Qui donc pourrait lui venir en aide ? Personne en ce monde. Mais il existe un autre monde. Celui de Rose Madder. Cette femme n'est peut-être qu'un personnage de tableau, une hallucination. Elle possède pourtant un pouvoir étrange. Un pouvoir dont Rosie pourrait profiter. A moins qu'en traversant la toile, elle ne déchaîne l'apocalypse...

Dans un futur proche où sévit le Service Séléctif, chaque année, cent jeunes hommes âgés de 18 ans partent de l’Etat du Maine et marchent vers le Sud. Le gagnant de la Longue Marche recevra ce qu’il veut pour le restant de ses jours. Les règles de la Longue Marche sont simples : pas d’interférence avec les autres marcheurs, ne pas dévier de la route prévue et ne jamais s’arrêter. Les marcheurs qui s’arrêtent une fois reçoivent un avertissement. Les marcheurs peuvent recevoir trois avertissements. Ensuite, ils sont abattus !